Merci pour ce partage d’info.
sur une situation très proche de celle de ma region des Pouilles en Italie,
Region des tomates et des immigrant qui viennent d’Afrique.
Ils
sont traités comme des esclaves. La retribution c’est 0,10 cent d’euro par caisse de tomate récoltée !
Giuseppe
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Bonjour à tous ;
J'attendais un peu la position de Transhumances après avoir pris connaissance de la situation des travailleurs saisonniers à Maillane il y a plusieurs jours ; je vous remercie de rendre accessible ces informations
; bien que je sois bien mobilisée à cause du contexte pour mes dernières semaines d'activité professionnelle, je reste attentive et vous dis mon soutien, notamment à Jean Yves qui est toujours sur le front ; et ceux qui l'entourent.
Je viens d'avoir Louis au téléphone ; ça fait du bien d'entendre un frère prêtre -Être- dans le réel...
Manifestation contre l'esclavage aux EU, à Paris... après l'assassinat de Georges
Floyd... et tout près ?... est-ce que les articles dans les journaux seront les plus lus ...
Merci à vous... et à bientôt j'espère Monique
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Merci beaucoup de ces informations. J'espère que le procès pourra se faire. C'est déjà bien que la presse locale dénonce ces conditions de travail. Nous n'avons pas fini de nous battre pour des conditions de travail
justes, des rémunérations justes et le prix juste pour les consommateurs.
Les fraises du marché de ste Foy-lès-Lyon proviennent du village de Thurins. Je suppose que c'est vrai. Je ne suis pas allée vérifier sur
place…. par temps de confinement ils ont trouvé de la main d'oeuvre locale sans doute… et souvent familiale.
bises
Marie-Thérèse
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Entendu en fin de confinement.
Deux producteurs de cultures maraichères et arboriculture ayant perdu leur personnel saisonnier durant les 3 mois de confinement (en particulier au moment de la récolte
des fraises) ont embauché de jeunes hommes français pour y pallier, avec un salaire supérieur à celui des travailleurs étrangers habitués de l'entreprise.
L'un de ces nouveaux employés a déclaré
forfait au bout de quelques jours, trouvant le travail trop pénible et est parti en tentant de dérober du matériel.
Les autres, qui s'étaient mis au travail avec efficacité, ont été surpris une nuit dans
les serres. Durant la journée ils préparaient quelques caisses de fraises qu'ils venaient chercher de nuit pour les revendre à leur compte !
Moralité : l'an prochain ces deux producteurs disent qu'ils augmenteront très
sensiblement les salaires de leurs saisonniers qui travaillent si bien !
Martine
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Merci de faire parvenir de telles horreurs en France
, de quoi se révolter ....Je suis très triste pour ses travailleurs esclaves sur notre sol français
Louis Rouve m'a mis un peu au courant ce après-midi par téléphone. Mais lisant le tout
sur internet j'en suis, je vous assure, bouleversée.
Bon courage à ceux qui luttent pour un monde humain
Bien avec vous par la pensée.
Pour ma part je vis un passage ... nous
fermons notre maison ici en août donc re-changement pour le Gers (100km d'ici).
Alice
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A quelque chose malheur est bon...
Ce tire peut vous paraitre paradoxal, mais je m'explique:
Cela doit faire 10 ans que JY nous a détaillé les conditions de travail de ces esclaves des temps modernes vivant sous nos yeux d'aveugles.
Dans mon milieu professionnel (de haut niveau technologique) Il m'est arrivé
d'en parler à des collègues à plusieurs reprises, et la plupart du temps j'étais considéré comme un affabulateur, au mieux comme exagérant franchement. Personne ne voulait croire cela…
Avant-hier j'ai eu de nouveau l'occasion d'aborder ce sujet, partant des cas de COVID apparus dans la région: Pour la 1ère fois, j'ai eu des interlocuteurs acceptant d'entendre ce que je leur disais.
Il faut
une menace comme le COVID pour faire ouvrir les yeux…
Vincent